Les circuits de R2-D2 seront constitués de différents canaux d’information reliant des modules dont le nombre pourra changer rapidement.
Pour le héros de Star Wars, il n’est pas étonnant que son logiciel ressemble à une galaxie d’étoiles : chaque module est plus ou moins important, et plus ou moins proche du coeur névralgique qui assure la sécurité des déplacements.
Au centre de cette galaxie, on trouvera les éléments vitaux, toujours connectés, et de priorité d’exécution maximum :
– le contrôle des moteurs
– un bouton d’arrêt d’urgence "coup de poing" habilement dissimulé
– un réseau de capteurs de proximité
Ce mécanisme doit être simple et immuable. Si on veut pouvoir rajouter des modules, il faudra donc que la carte de contrôle des moteurs reçoive des ordres (vitesse, direction, sens de rotation) sous une forme standard.
Ainsi, toute évolution dans les fonctions du robot peut se faire sans toucher au module de sécurité.