Le Laboratoire d’Informatique, de Robotique et de Microélectronique de Montpellier ou LIRMM est régulièrement cité au club parmi tous les labos de recherche en robotique en France, sans doute parce qu’il partage certains projets avec l’INRIA, le laboratoire d’informatique et d’automatique de Sophia-Antipolis avec lequel Pobot entretient des liens depuis plusieurs années.
Ce laboratoire est à l’origine d’un robot parallèle (voir notre article sur le sujet) très rapide issu du projet Dexter qui avait été présenté . Depuis, d’autres robots parallèles (dont Festo, un laboratoire privé dont on parle beaucoup depuis un an) ont revendiqué le titre de robot le plus rapide. En voici un exemple, à défaut de pouvoir montrer celui du LIRMM :
Principalement actif dans le domaine de la robotique médicale, des robots humanoïdes ou sous-marins y sont également développés. Comme en témoigne cette vidéo montrant le robot Sherpa, enfin... ses jambes, enfin... la mécanique de ses jambes.
Le LIRMM est également à l’origine de la création de start-ups, comme Alci dans l’automatisation agro-alimentaire grâce à la vision 3D, un domaine que Pobot a récemment exploré.
Vos commentaires
# Le 4 septembre 2014 à 17:58, par Isolda Nao En réponse à : LIRMM, le laboratoire de robotique de Montpellier
Bonjour je voudrais savoir si je pourrais venir faire mon stage de troisième dans votre laboratoire car je suis très intéressé par la robotique.
Ou pouvez vous m’indiquez des structures comme les vôtres à bordeaux.
Merci d’avance pour votre réponse.
Respectueusement Nao
# Le 4 septembre 2014 à 18:39, par Eric P. En réponse à : LIRMM, le laboratoire de robotique de Montpellier
Bonjour,
Nous ne sommes pas un laboratoire, mais une association exclusivement composée de bénévoles. L’article pour lequel vous avez posté votre commentaire parle du LIRMM mais nous ne sommes pas le LIRMM.
Pour ce qui est des laboratoires de recherche en robotique dans la région de Bordeaux, il y a par exemple l’INRIA, avec notamment le projet Flowers auteur du robot Poppy (http://www.inria.fr/equipes/flowers). Quant à savoir s’ils proposent des stages, c’est une autre histoire. Le plus simple est de les contacter.
Eric
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