Je ne sais pas si vous connaissez, mais il existe un autre capteur de lumière pas cher du tout, extrêmement répandu (tout électronicien l’a utilisé un jour 🙂 ), et avec une très grande étendue de mesure : la... LED !!
Le principe est paru dans un numéro double d’Elektor (2008 je crois) :
La led est branchée en inverse sur un port d’un µC réversible (entrée haute impédance ou sortie).
On met la pin en sortie et à l’état haut un bref instant pour charger la capacité parasite de la led, puis on passe la pin en entrée et on mesure le temps qu’elle met à passer à 0. (et on recommence...)
Ce temps est proportionnel à la luminosité ambiante. (la capa se décharge par effet photomachin)
Et comme on mesure une période (ou une fréquence), l’étendue de mesure est très très grande ! Mais bien sûr en contrepartie, la mise en oeuvre est un peu plus compliquée.
On peut même utiliser des leds de couleurs pour des mesures de couleur ? (je n’ai pas testé)
Je ne sais pas si vous connaissez, mais il existe un autre capteur de lumière pas cher du tout, extrêmement répandu (tout électronicien l’a utilisé un jour 🙂 ), et avec une très grande étendue de mesure : la... LED !!
Le principe est paru dans un numéro double d’Elektor (2008 je crois) :
La led est branchée en inverse sur un port d’un µC réversible (entrée haute impédance ou sortie).
On met la pin en sortie et à l’état haut un bref instant pour charger la capacité parasite de la led, puis on passe la pin en entrée et on mesure le temps qu’elle met à passer à 0. (et on recommence...)
Ce temps est proportionnel à la luminosité ambiante. (la capa se décharge par effet photomachin)
Et comme on mesure une période (ou une fréquence), l’étendue de mesure est très très grande ! Mais bien sûr en contrepartie, la mise en oeuvre est un peu plus compliquée.
On peut même utiliser des leds de couleurs pour des mesures de couleur ? (je n’ai pas testé)